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Bougies & réflexions sur la beauté
Chambre plongée dans l’obscurité, quatre bougies pour une lumière calme, un peu d’encens pour apporter au nez ce que la bougie apporte aux yeux. Il ne manque qu’un peu de musique, j’opterais sans doute pour Laureena MacKennit si j’avais de quoi lire le CD (hélas, j’ai essayé de réparer mon poste, et une fois remonté, le problème était réparé, mais le lecteur CD avait rendu l’âme pendant l’opération, pour des raisons qui m’échappent). Ambiance religieuse, quelque part, bien que ce ne soit pas la religion qui me vient à l’esprit dans ces circonstannce. Je dois avouer que la lumière d’une bougie, bien plus que les chapelles, me fait toujours penser à l’amour, celui que l’on fait.
Quoi de plus a propos, en effet, que la flamme tranquille d’une mèche imbibée de cire, pour laisser le corps exprimer ce que le coeur ne parviendrait pas seul à mettre en forme ? Tamisée, pour effacer du corps les imperfections et laisser la perfection transcender le réel par le biais l’imagination ; mobile, pour que toute la chambre semble vivre dans cette lumière douce et partager ainsi la communion amoureuse ; chaleureuse, pour que la peau devienne dorée, pour que l’on n’ait pas le besoin de se cacher sous les draps, pour ajouter à la chaleur des bras de l’aimé(e). Il ne manquerait qu’un lit à baldaquins couvert d’étoffes pourpres et violettes à bordure d’or, qu’un prince et sa princesse, perdus dans quelque pièce d’un immense chateau froid et le vent dans les tours, avec pour seul objectif de se réchauffer.

J’ai pour projet, en réalité, de me mettre à quelque nouvelle prenant place au Moyen-Age. D’où les bougies que j’ai achetée cet après-midi, et les disques de musique médiévale empruntés à la bibliothèqu. J’espérais du MacKennit, je n’ai hélas trouvé que du ménestrel de banquet et du grégorien qui vous retourne les tripes — comme me le faisait remarquer mon frère à juste titre, c’est amusant les voix de femmes dans les choeurs, tu imagines toujours la nana à l’image de sa voix : jeune, pure, vêtue de blanc, probablement plusieurs fois vierge (ah ah). La dernière — et première aussi d’ailleurs — fois que j’ai vu un choeur avec des femmes, c’était à Birmigham lorsque Chiara et moi creusions des tranchées dans la boue de notre relation en phase terminale, et le choeur comptait une large majorité de femmes chez lesquelles le blanc de la robe s’était depuis longtemps étendu à la chevelure. Vierges sans doutes, pures je n’en crois rien, mais nullement jeunes à vous faire rêver comme à l’écoute du disque. Amer souvenir, cette messe-là, mais qui ne saurait tacher l’agréable, bien que triste, appaisement des chants latins.

Chiara... J’ai pensé à elle cet après-midi. A elle et à ses avances à Vagelis, peut-être même avant la fin officielle de notre histoire.Bouffée de rage dans la rue, serré les poings dans mes poches, le temps que ça passe. Puis, reçu en rentrant un CD de Fred contenant les photos des débuts et de la fin, photos de et avec Chiara. J’ai du mal à comprendre pourquoi cela me fait tellement de peine de penser à elle, et d’où me vient cette atroce jalousie quand je l’imagine tentant de séduire Vagelis. Ce n’est pas comme d’avoir eu une relation formidable avec une fille et de se faire tromper. Chiara n’était pas une fille formidable, du moins ce n’était pas du tout une fille « dans mon genre ». Nous étions bien trop différents pour que ça marche. Et pourtant, quelle peine à l’évocation de son souvenir ! Est-ce d’avoir aimé, sans retour, une fille qui n’en valait pas la peine (puisque ça n’aurait jamais pu marcher), qui me rend si triste ? Est-ce de n’avoir pas partagé avec elle ce que j’aurais voulu ? Est-ce d’en être tombé amoureux alors que ma propre raison la trouvait futile, manquant de poids ? Est-ce enfin de repenser au Vagelis du début, mon voisin de chambre avec lequel je m’entendais bien. Avant Chiara. Mais c’est une chose connue, si vous voulez foutre le bordel dans une bande de copains, il suffit d’y ajouter une jolie fille. Alors, plus d’amitié, tout le monde se met en orbite autour de la belle, et gare à qui se trouvera sur ma trajectoire. Enfin, je connaissais Vagelis, et sa faiblesse face aux femmes. Cela m’avait d’ailleurs impressionné. Un type incapable de dire non à une fille qui aurait eu des atouts en nombre et forme adéquats. J’en étais impressionné, car ce n’était pas de la flagornerie à dessein, mais quelque chose proche de l’hypnotisme. Combien de fois ai-je vu Vag, yeux grand ouverts, béat d’admiration divine pour une fille qui à mes yeux n’avait que sa beauté pour plaire ! Et de lui dire « allons, viens, on s’arrache », mais fi ! Autant s’adresser à un mur. Sacré Vag.

Je ne dis pas au demeurant que les filles que je trouve jolies ne me font pas d’effet. Bien au contraire. Elles me terrifient, et ma réaction, bien plutôt que d’étirer la conversation indéfiniment, est au contraire de la fuire par tous les moyens. Timidité, sans doute. Mais aussi appréhension. Celui qui se sait faible face à quelque chose le fuit. Si tant est qu’il parvient à garder la tête suffisamment froide pour ça, bien évidemment. J’ai profondément horreur des jolies filles, pour cette raison qu’elles m’impressionnent. Je préfère les filles moins jolies, celles qui ne me troublent pas. Chiara ne me troublait pas au début, d’ailleurs. Je ne la trouvais certes jolie, mais trop légère. Il manquait dans son regard cette profondeur qui laisse croire que derrière ces yeux se cache une âme capable de comprendre, voire même de duper, bref une âme d’égal. Je n’avais pas ce sentiment pour Chiara du tout. Je la trouvais Bimbo, avec sa façon de soulever son T-shirt au milieu de tous pour nous faire admirer son bronzage ventral, son grand amour pour son chien (un dogue baveux, l’oeil morne d’ennui, sur le peu de photos que j’ai pu, enfin que j’ai dû en voir). C’est rageant, quelque part. Parce qu’elle ne m’impressionnait pas du tout, j’ai pu lui parler librement, et parce que je lui parlais librement, elle se mit à m’apprécier. Ainsi devins-je son favori, et d’être le favori me monta à la tête, si bien que je finis par me dire « c’est du tout cuit, et bien profitons-en. Ce n’est peut-être pas une flèche, mais au moins elle est jolie. » Et voilà comment l’homme, idiot, devant la beauté de la femme comme un gamin devant ces pochettes surprises chez le boulanger, cônes de papier pleins de couleurs prometteuse à l’extérieur et de déception à l’intérieur, finit par tomber amoureux. Idiots que nous sommes, d’imaginer que l’âme est à l’image du visage, que des filles la beauté est annonciatrice de douceur et patience. Balivernes que tout cela. J’ai même tendance à croire que la vérité est plus proche de l’opposé, que la beauté est systématiquement comme celle de mes pochettes surprises. Un masque plein de promesses cachant une âme terne. J’avais écrit, il y a quelques années, cette phrase que je trouve assez vraie (et que je ne suis sans doute pas le premier à énoncer) : « Une fille jolie, on fait toujours l’effort de la trouver intéressante ; une fille intéressante, on finit toujours par la trouver jolie ». Et de mon expérience, c’était ce qu’il en ressortait. Je tombais immédiatement amoureuses des premières, qu’un seul coup d’oeil suffisait à me montrer parfaites, puis déchantais en les entendant parler avec leurs amies, ou à la première conversation que ces belles m’accordaient, car sans mentir, jamais leur ramage ne s’en rapportait à leur plumage. A l’inverse, il est des filles qu’au premier regard je trouvais sans intérêt physique, et qu’après quelques conversations je découvrai posséder une âme d’une grande richesse, intelligentes et malicieuses, tristes ou pétillantes, mais dont l’âme, à l’inverse des précédentes pimbèches, était profonde et fraîche comme l’eau d’un lac. Le regard que je portais sur celles-là s’est fortement changé avec le temps, et bien souvent, j’en tombais aussi amoureux, mais cette fois sans découvrir en soupirant que le lac espéré était en réalité une mare, une pataugeoire dont l’eau ne montait qu’aux chevilles, et qu’il suffisait de se baisser pour toucher le fond. Comment dés lors passer avec elles plus d’un jour sans s’ennuyer ?

La réponse est que, en dépit de mon plaidoyer pour les filles de belle âme, je n’en suis pas moins comme mes semblables. Attiré avant tout par la beauté. Et si je râle (encore une fois, me direz-vous, mais que voulez-vous, se plaindre est un plaisir, un des rares du solitaire ;)), ce n’est pas contre les hommes qui tapent la main des filles — « marché d’amour conclu ! » — sur le simple gage de mensurations satisfaisantes (quand bien même elles situent le Groënland quelque part au pôle Sud et se demandent si les Essais de « Montagne » sont un manuel de ski). Car je suis hélas comme eux. Qu’une belle se présente et je ne verrai plus qu’elle, à mon coeur dépendant. Qu’au contraire une laide, d’âme aussi grande qui soit, me fasse des avances, et je refuserai du haut de ma fierté. Ce n’est donc pas contre l’homme que je râle, mais contre la nature qui l’a fait tel que la beauté l’emporte à ses yeux sur l’esprit. Il faudrait que l’âme intervienne dans la beauté des gens. Je ne sais pas si j’y gagnerais, personnellement, mais cela serait plus juste. Pourquoi les belles, toujours courtisées, alors qu’elles sont parfois d’une niaiserie rare ? Pourquoi les laides toujours délaissées, quand elle cache parfois des trésors de compréhension ? Que tout cela est basique et injuste à mes yeux !

Car c’est bien pour cela que je profitai de l’occasion avec Chiara. Elle ne m’intéressait guère, en tant que personne, mais que voulez-vous, elle était jolie, l’italienne du groupe. Cela aussi me fait de la peine. D’une fille que je n’admirais pas, je suis devenu le copain par jeu, parce que c’était dommage de gâcher une chance (pourtant, j’en ai gâché, des chances avec des moins jolies !). Et du copain, je suis devenu l’amoureux, à m’en mordre les doigts de désespoir, de pleurer pour une fille qui de rien à mes yeux quelques mois plus tôt, avait réussi à devenir tout. Belle leçon qui me vaudra à l’avenir d’être peut-être moins téméraire. Des mots... Je sais bien que la prochaine Chiara qui me tendra les lèvres, je m’y accrocherai non sans moins de passion que pour la précédente. C’est ainsi, mon coeur est indomptable, et c’est aussi ce qui en fait le charme.

Et ces belles, belles qui paradent, belles qui font les fières parce que belles, désirées, belles qu’on s’arrache et qui s’en croient reines, souveraines à la couronne étroite et au neurone éteint... Ma plainte n’est pas celle de celui qui désire et ne peut avoir, alors se venge par les mots. Qu’on ne s’y trompe pas. Je ne suis pas malheureux de ce côté-là, j’ai au moins eu cette chance d’avoir assez de prétendantes. Et celles dont je fis des petites amies furent, sans surprise, toujours les plus jolies. Mais je n’en fus pas toujours heureux. A vrai dire, si l’on fait abstraction de la première, j’eus toujours le sentiment de ne pas être compris, ce qui fait d’une petite amie, aussi belle soit-elle, un accessoire, un bijou que l’on arbore fièrement, mais de peu d’utilité sinon celle de plaire et rendre jaloux les copains. J’aimerais parfois être capable de voir les gens comme un tout, du premier coup d’oeil. Pourquoi le physique compte-t-il autant ? Belles ou laides, toutes finiront ridées comme des pommes de terres oubliées à la cave, les tiges germées en moins. Belles ou laides, qu’importe puisqu’il faut moins d’un an pour qu’au final elles ne nous attirent plus. Et alors il ne reste que la tendresse, les mots, et à ce jeu, on ne se sent jamais aussi seul qu’avec les idiotes. Mais elles sont fières, alors on les respecte. Tandis que les laides, il est si facile de les mépriser, elles s’émerveillent, elles font tout leur possible, et plus on leur en jette, plus elles nous reviennent, fidèles dans leur souffrance, nobles dans leur douleur, mais nos yeux restent fixées sur les belles que l’on n’a pas.

Triste mentalité que celle de l’homme, la mienne, je trouve. Et pourtant, l’âme joue. Je ne parle pas de « beauté intérieure », je trouve ce terme ridicule ; il désigne avec trop d’hypocrisie la laideur du corps. Parlons plutôt de grandeur d’âme. Cette grandeur, n’est-elle pas le gage de la durée ? Foutu tel que je suis, quand bien même je le voudrais, je ne pourrais pas rester avec une fille jolie mais creuse. Il suffit de voir. Au bout d’un mois, je m’ennuyais avec Chiara, et pourtant j’en étais amoureux. Seulement voilà, rien en commun. Un humour totalement différent, des centres d’intérêts aux antipodes, impossible de s’entendre sur quoi que ce soit. J’en étais amoureux, mais je n’aurais jamais pu l’aimer. Sans doute y a-t-il des hommes qui s’en contenteraient, fiers d’avoir une belle femme, et accordant trop peu d’importance à l’amour pour nécessiter un intellect fort. Mais moi, moi qui aime par la tête avant tout, moi qui suis fait d’esprit tellement plus que de corps, je m’ennuie avec une belle sans jugeotte. Son rire qui m’amusait les premiers temps me devient agaçant, sa beauté à fondu avec l’habitude, et il ne reste rien que cette sotte qui cancanne, qui se plaint ou qui fait la crécelle, et je me sens plus seul que si j’étais sans elle.

Ch. était à part. Ch., non seulement était belle, mais Ch. était des rares — à vrai dire la seule — chez qui l’âme était ce que la beauté en laissait supposer. Je vous épargnerai l’éloge de ses qualité. Sachez simplement qu’elle était femme comme je l’imaginais, douce, patiente, attentionnée (le côté mère), fragile, angoissée, perdue (le côté fille). Et puis Ch. m’aimait autant que je l’aimais, et puis c’était le début, et l’on se découvrait, aux deux sens du terme, alors c’était l’Eden, enfin quelque chose comme ça. Et puis je suis parti, un jour que j’étouffais, lassé d’entendre sonner le téléphone et de devoir lui dire mille fois que je l’aimais, si bien que j’ai fini par lui dire que non, et une fois pas mille a été suffisante. C’est idiot, et pourtant, c’était bien un peu vrai. Il manque à l’homme une vue plus globale. Si on pouvait embrasser le temps plus largement, et voir à quelques années (oh, une aurait suffi) les effets de nos actes, on serait plus raisonnables. Hum, le passé, encore le passé. Je vais finir par vivre dans le passé, moi, si je n’y prends pas garde.

Il est une chose étrange, chez les petites amies. C’est ce besoin d’être embrassées sur les lèvres. Comme si l’amant traduisait son amour par le baiser sur la bouche. Je trouve ça regrettable. Non qu’elles ne nous laissent pas les embrasser ailleurs, mais elles y voient un refus de la lèvre, qu’elles traduisent sans doute en perte de désir, ou déclin de l’amour. A tort. J’ai toujours eu plaisir à embrasser sur les lèvres, les premiers temps. C’est une sorte de mélange, d’union physique mineure, prélude à la grande. Seulement, j’ai beaucoup de mal à désexualiser un tel baiser. A l’inverse de Chiara, qui embrassée aussi bas soit-il, trouvait cela tendre et jamais excitant (enfin bon, je crois qu’elle et la chose, c’était pas ça, rapport à l’enfance, je pense, faut être compréhensif là dessus), j’ai tendance à trouver certaines choses définitivement liées à un contexte. En particulier le fameux baiser sur la bouche, qui pour moi est du registre des ébats, et non de la tendresse (celui avec la langue, j’entends). Mais passés les premiers temps où il semble qu’on ne peut pas s’en décoller, de cette bouche, on a envie d’autre chose. De repos, quelque part. Et surtout de tendresse plutôt que d’amour fou. Embrasser sur les joues est une chose que j’adore. Evidemment, pour elle, ça n’est pas forcément génial. Elle préfère le baiser sous-marin, le rotor d’hélico, bref l’artillerie lourde, rotative et humide, qui veut dire « je t’aime, je te désire, vite sur le piano » (puis symphonie en détourrnement de mineure...). Le baiser sur la joue, elle le définit par ce qu’il n’est pas, plutôt que d’y voir ce qu’il est (voir ce qu’on ne nous donne pas, et ne pas voir ce que l’on nous donne). Elle y voit une absence de désir au lieu d’y voir un élan de tendresse. C’est quelque chose que je regrette. Moi qui n’ai jamais embrassé ma mère, ni personne d’autre (simple refus de ma part, depuis tout petit, sans que je sache d’où il provient), c’est pour moi tellement immense que d’embrasser une fille, sur la joue. C’est un peu comme d’avoir une mère avec qui j’aurais une relation tendre, une vraie relation mère-fils. C’est mon enfance que je rattrape, souvent, dans les bras des filles (hélas, j’ai cela ne leur plaît pas souvent, ou en tous cas uniquement à petites doses). Enfin bref, c’est tendre, c’est doux, ça fait penser à la mer et à un gros pull en laine (des images, comme ça, je sais pas trop pourquoi). L’autre baiser, c’est bien pour les débuts, et pour les grands soirs, mais c’est pas tendre. C’est dévorant, presque agressif. Des fois on a envie d’autre chose, une chose qui se termine pas au lit, qui n’annonce rien d’autre, et se suffit à elle-même, apaisante plutôt qu’excitante. Simplement pour dire « tu es mon amie ».

Ah, il y a tant à écrire sur les femmes ! A tel point que j’en oublie encore de me coucher. Allez, je file, bonne nuit à tous. Puissions-nous tous cette nuit rêver d’une chose ou personne qui nous tient à coeur. En espérant pou ma part que cette fois-ci, ma soeur et ma mère n’échangeront pas des tirs de missiles devant ma porte, me tirant comme la dernière fois d’un des rares rêve où je la rencontre parfois, et en plus au tout début. Amusant ce « elle » des rêves, mélange de Ch., de Chiara, d’autres filles que je n’eus pas la chance de serrer dans mes bras. Et pourtant, un visage net, le visage de quelqu’un de précis, mais que je n’ai jamais rencontré. Si un jour je la croise, la reconnaitrai-je ? Avec des si, de toutes façons, on mettrait Papi en bottes Aigle... Merci à ceux et/ou celles qui auront lu mes dérives, n’hésitez pas à vous manifester, ça fait toujours plaisir d’avoir des avis, même (surtout ?) contraires ! Allez, buona notte (soupir)...

Ecrit par Barjac, le Mercredi 5 Novembre 2003, 10:30.
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